Aujourd’hui, jour de la Saint Martinien (ça ne s’invente pas) c’est la journée mondiale des ovnis ! Pour quoi faire nous direz-vous ? Eh bien, premièrement se rappeler que nous ne sommes pas seuls et deuxièmement, inviter les gouvernements à déclassifier toutes les informations disponibles en la matière. Et vous, qu’est-ce que vous avez à voir dans tout ça ? Justement : tout !

 

Alors pardon mais vraiment, nous qui sommes immergés toute la journée dans un espace de coworking baptisé Wojo… on peut vous en parler. Car quand vous franchissez la « porte suivante » (c’est un nom de code, vous l’aurez compris) vous vous retrouvez assurément téléporté sur une planète bien singulière. Le genre de planète où la vie est non seulement possible, mais où elle est plus vivante qu’ailleurs… et notre expertise nous permet de l’affirmer : les entrepreneurs ne sont pas humains. Et si certains sont encore plus perchés que d’autres, à quoi croyez-vous que cela tient ? C’est simplement qu’ils viennent de plus loin (en ovni bien sûr) !

Ces entrepreneurs qui viennent d’ailleurs

Vous doutez ? Nous avons demandé à notre communauté Wojo de nous citer quelques entrepreneurs inspirants et potentiellement d’origine extraterrestre, histoire de vous ouvrir les yeux. Voici donc quatre ovnis de l’entreprenariat.

Ovni n°1, tout droit venu de la planète « éthique » : Bas Von Abel

Attention, nous tenons ici un spécimen rare, venu des régions les plus reculées de l’univers : en attendant de trouver une planète regorgeant de coltan, tungstène, or et autres matériaux  indispensables à la fabrication de nos smartphones chéris… Le Néerlandais Bas Von Abel s’est dit qu’on pourrait tout de même essayer de faire mieux, à défaut d’être totalement irréprochable en termes de commerce équitable.

Le Fairphone n’est fabriqué que sur commande, avec des matériaux traçables (en particulier : n’alimentant pas les conflits armés), il est modulaire : on enlève et on remplace les pièces facilement, en particulier la batterie ou l’écran en deux coups de tournevis (il n’en est donc que plus facilement recyclable) et il est conçu pour durer. Et ce n’est pas tout : pour Bas von Abel, le téléphone le plus durable… c’est celui que l’on a en main ! Car pour être plus éthique, il prône la durabilité du téléphone, même quand ce n’est pas un Fairphone.

Ovni n°2, en direct de la planète « transparence » : Jean-Charles Samuelian

Nous frissonnons tous à l’évocation de l’épouvantable nébuleuse de l’assurance santé, truffée de trous noirs et de pirates sans scrupules. Il n’en fallait pas plus pour décider le Français Jean-Charles Samuelian à se mettre sur orbite, en créant Alan (une assurance santé digitale, et la première assurance indépendante agréée). Elle propose aux entreprises une couverture simple et transparente avec un excellent rapport qualité prix… en moins de 5 minutes (on suppose que Jean-Charles a les clefs de l’espace-temps).

En termes de management, Jean-Charles Samuelian gère sa petite entreprise comme un Plutonien et ça marche : réunions prohibées, publication des salaires sur Medium…

Ovni n°3, depuis la planète « nature » : Yvon Chouinard

On peut aimer avoir le vertige sans se mettre en danger pour autant : voici comment naquit la gamme Black Diamond Equipment. Car trouvant le matos de varappe de piètre qualité, l’Américain (d’origine canadienne) et pionnier Yvon Chouinard, passionné d’escalade, décida à 19 ans qu’il pouvait faire mieux et se mit à forger lui-même, et vendre, des pitons et mousquetons réutilisables…

S’il est connu pour être tombé amoureux du Yosémite, nous pouvons ici révéler qu’il est né sur les flanc du Mont Olympe (planète Mars). Ce qui explique que notre homme soit un peu hors-normes : dans son manuel Let my people go surfing, il jette dès 2005 les bases d’un vision de l’entreprise durable et économiquement rentable, illustrée avec brio par Patagonia (vêtements outdoor haut de gamme).

Ovni n°4, planète « zéro fatalité » : Élizabeth et Nicolas Soubelet

Qui ne connait pas ces affreuses petites gourdes de compote jetables, tellement pratiques qu’elles prolifèrent dans tous les recoins de la voie lactée, plages vénusiennes et bords d’autoroute galactiques… pensez-vous, pour une fois où on mange sain ! Elizabeth, alors sage-femme et mère de cinq enfants, s’est demandé pourquoi on ne fabriquait pas de telles gourdes réutilisables, tout simplement ? Oui on peut, a-t-elle découvert, mais en Chine, c’est plus simple. Hors de question : l’entrepreneure a pris le sujet à bras le corps…

Aujourd’hui les gourdes Squiz sont intégralement fabriquées/ conditionnées/ etc. en Europe et à base de produits 100% européens. À ce jour, elles ont permis d’éviter la production de quelque 165 tonnes de déchets ! 

Gouvernements, déclassifiez-moi ces infos !

Voilà pour quelques exemples édifiants… Mais ce qui est vraiment lunaire, c’est qu’à l’heure où tout le monde a bien compris les enjeux du partage connaissances, les données afférentes à une possible vie extraterrestre (ou à l’existence d’ovnis) ne soient pas accessibles à l’entrepreneur lambda.

Non, mais… imaginez un peu le champ des possibles en termes d’innovation, de parts de marchés, d’opportunités si nous devions un jour commercer avec des aliens. Nous ce qu’on verrait bien c’est l’exportation de séances de « découverte des vertus du droit de grève », ou le Slip Français (encore un ovni, tiens) versus le Slip Terrien…

Au passage, on voudrait attirer votre attention sur la fabuleuse opération de com’ d’Elon Musk du 6 février dernier : « une voiture rouge pour la planète rouge », mon œil ! Pourquoi croyez-vous réellement que le seigneur des extraterrestres terriens ait catapulté sa voiture dans l’espace ?? Et pourquoi le raodster Tesla et pas une Harley Davidson ?

Nous, on sait : cet ovni d’Elon a évidemment payé pour accéder aux données ad hoc… ce qui lui a permis de découvrir une niche. Les extraterrestres savent fabriquer des soucoupes (à quand les embouteillages d’ovnis), mais n’ont pas d’engins pour se mouvoir sur leur propre planète. Voilà donc Elon Musk parti l’air de rien à la conquête du marché du déplacement martien, en envoyant un échantillon savamment sélectionné, pour répondre à la demande. Starman est bel et bien le premier commercial intergalactique : il connait par cœur tous les argumentaires-clefs (assistance au stationnement et autre ouverture du coffre sans les mains… ça peut servir si nos aliens sont des poulpes).

Blague à part, amis terriens : à défaut d’avoir produit un ovni littéraire, on espère vous avoir inspirés et vous avoir fait sourire. Si on ira loin à ce jeu-là ? C’est-à-dire qu’on vient déjà de loin, donc dans l’absolu… : une chose est sûre, à observer la créativité et l’agilité des entrepreneurs, on se dit qu’il ne faut pas hésiter à chercher la vérité ailleurs ! À bon entendeur.

Un article posté depuis Saturne (pas rond)
par Laëtitia Cognie pour Wojo Business Humanizer

Au fait, chez Wojo on ne fait pas qu’écrire !

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